D'après le site :http://forzamotorsport.netHistorique de Mugello Autodromo InternazionaleLe tracé du circuit italien Mugello Autodromo Internazionale a été établi au cours des années 1970, alors qu’il appartenait à Ferrari. Ce dernier l’utilise comme piste d’essai pour ses modèles. Le site héberge des courses de voitures et de motos. À l’origine, en 1914, Mugello n’était qu’un tronçon de 66 km appartenant au réseau routier public du nord de Florence, en Toscane. Un des premiers vainqueurs du circuit original fut Enzo Ferrari, en 1921. Au cours des années 1950, la longueur du circuit fut ramenée à 19 km. Aujourd’hui, les 5,4 km de ce circuit moderne sont divisés harmonieusement entre quinze virages et lignes droites de longueur variée, et proposent un dénivelé de plus de 41 mètres. Pour plus d’informations, visitez le site Internet officiel de Mugello (
http://www.mugellocircuit.it).
Préparation de votre voiture pour MugelloMugello propose plusieurs lignes droites rapides séparées par des virages serrés, ce qui rend le réglage des voitures assez difficile (si vous réglez votre voiture pour qu’elle puisse atteindre une vitesse élevée, vous risquez de perdre de précieuses secondes pour sortir des virages serrés, et vice versa). En d’autres termes, le circuit de Mugello nécessite un réglage équilibré de votre voiture, qui soit adapté à votre style de conduite.
• Pneus : vous pouvez augmenter légèrement la pression des pneus, la prise de virages ne revêtant pas une importance aussi grande que sur d’autres circuits.
• Rapports : là, ça se complique. Bien que Mugello comporte plusieurs lignes droites, celles-ci sont relativement courtes par rapport à d’autres circuits. Il se peut donc que vous ne disposiez pas de l’espace nécessaire pour pousser votre voiture à sa vitesse maximale, ou l’y faire rester très longtemps. De plus, les virages sont dans l’ensemble assez serrés, ce qui vous obligera à ralentir plus que d’ordinaire. Essayez de déplacer le réglage du rapport total de démultiplication légèrement sur la gauche, de façon à améliorer votre accélération en sortie de virage, mais sans que cela n’affecte trop votre vitesse de pointe. L’idéal étant d’utiliser une voiture assez rapide pour atteindre sa vitesse de pointe même sur des lignes droites courtes.
• Alignement/Carrossage : avec tous ces virages serrés, il serait judicieux de réduire le carrossage de manière à conserver une bonne tenue de route lors des virages.
• Barre antiroulis : avec le nombre de zigzags que vous aurez à faire sur certaines parties du circuit, il est recommandé d’utiliser une barre antiroulis assez rigide.
• Ressorts/Ressorts : le tracé du circuit de Mugello n’est pas particulièrement accidenté ; ajustez donc ce réglage en fonction de votre style de conduite.
• Ressorts/Garde au sol : la surface du circuit est plane et régulière, vous pouvez donc vous permettre d’abaisser largement votre véhicule.
• Amortissement : si vous comptez utiliser les dérapages pour prendre vos virages, privilégiez la rigidité ; dans le cas contraire, appliquez un réglage adapté à votre style de conduite habituel.
• Aérodynamisme : ce paramètre sera principalement déterminé par la carrosserie de votre voiture. Si celle-ci (et votre style de conduite) sont avantagés par la portance négative, n’hésitez pas à l’augmenter.
• Freinage : les nombreux virages serrés vous pousseront à fréquemment faire usage de vos freins. Si vous ne vous sentez pas complètement à l’aise à l’approche de ce type de virages, il peut être préférable de privilégier des freins plus souples de manière à éviter le surfreinage. Dans le cas contraire, augmentez légèrement la pression des freins afin d’optimiser leur utilisation.
• Différentiel : réglez ce paramètre selon vos préférences personnelles.
Virage n° 1Le circuit commence par une longue ligne droite qui devrait vous permettre d’aborder le premier virage, très serré et à rayon décroissant, au plus haut de votre vitesse. La réaction naturelle est d’essayer de prendre le virage sans trop diminuer votre vitesse, mais ne tombez pas dans ce piège... Tentez plutôt de découvrir le moment idéal pour commencer votre décélération, de manière à éviter une sortie de route précoce.
Virage n° 2Ce virage à rayon constant ne devrait pas vous poser de difficultés. Une fois que vous aurez trouvé le point d’apex, vous devriez le passer haut la main.
Virage n° 3Après cet autre virage à rayon constant, vous aurez l’occasion d’effectuer une légère accélération sur une courte ligne droite, ce qui favorise les voitures disposant d’une bonne capacité d’accélération (elle est en revanche trop courte pour les voitures privilégiant la vitesse de pointe). Ce virage s’étale sur une crête, vous empêchant par conséquent de voir ce qui vous attend de l’autre côté. Votre instinct vous poussera naturellement à ralentir. Résistez à cette tentation et accélérez afin de prendre de la vitesse ; pas trop toutefois, car un autre piège vous attend...
Virages n° 4 et 5Lorsque vous approchez de la fin de la ligne droite qui précède le 4e virage, commencez à freiner. Comme le virage n° 2, ce virage pénalisera les pilotes qui le prennent trop rapidement. Le 5e virage continue dans la direction opposée au 4e, et débouche sur une longue ligne droite que les pilotes de voitures rapides apprécieront.
Virage n° 6Bien qu’il apparaisse relativement serré sur la carte, le virage n° 6 est en fait large et régulier. Il est conseillé de l’aborder assez rapidement, de trouver le point d’apex et de sortir du virage avec une vitesse aussi élevée que possible en préparation du virage n° 7 : elle vous sera très utile.
Virage n° 7
Prenez ce virage aussi rapidement que possible et sortez-en avec une vitesse élevée, car il précède une ligne droite qui permettra à tous les concurrents d’atteindre leur vitesse de pointe afin d’aborder les virages n° 8 et 9 dans les meilleures conditions. Votre priorité consiste à accélérer le plus possible et à amener votre voiture du côté gauche de la piste en prévision des deux prochains virages.
Virages n° 8 et 9
Vous devriez pouvoir conserver une bonne partie de la vitesse accumulée dans la ligne droite suivant le virage n° 7 en franchissant ces deux courbes progressives à rayon constant. Il ne s’agit pas de virages serrés, ce qui devrait vous permettre de conserver une vitesse assez élevée pendant une courte période. Pensez à ne pas perdre de vue l’apex pour chacun des virages. Ne décélérez que ce qu’il vous faut pour pouvoir prendre les virages confortablement et maintenez une vitesse constante élevée, et tout devrait bien se passer !
Virage n° 10
Si vous prenez ce virage trop rapidement, vous êtes presque sûr de vous retrouver dans le décor. Évaluez le bon moment pour commencer à freiner, et surtout, essayez d’éviter les voitures qui ne manqueront pas de sortir de la route !
Virage n° 11Les virages 10 et 11 sont si proches l’un de l’autre qu’ils pourraient être une chicane, mais ce n’est qu’une impression. Le 11e virage est à rayon constant ; il précède une ligne droite trop courte pour mériter une préparation particulière. Sortez du virage aussi rapidement que possible, mais gardez votre sang-froid : une épingle à cheveux vous attend.
Virage n° 12Ce virage est à l’image de toute bonne épingle à cheveux : c’est au moment où vous pensez que vous avez atteint l’apex et qu’il est temps d’accélérer, que l’angle se resserre brutalement et que vous sortez de la piste. La clé consiste à procéder méthodiquement : abordez la première partie de l’épingle du côté extérieur de manière à disposer d’assez d’espace pour tourner dans la deuxième partie sans perdre trop de vitesse.
Virages n° 13 et 14Ces deux virages forment une chicane assez sournoise, mais ils sont assez proches l’un de l’autre pour que vous puissiez les franchir sans perdre trop de vitesse ni avoir à braquer de façon inconsidérée.
Virage n° 15
Même s’il donne l’impression d’être une courbe progressive, le virage n° 15 est un virage à rayon constant classique. Il débouche sur une grande ligne droite menant jusqu’à la ligne d’arrivée. S’il y a un moment où vous devez mettre le pied au plancher sur le circuit de Mugello, c’est maintenant !
Jeu 31 Mai - 11:10
L'attente fut longue mais pas vaine avant d'avoir le privilège de goûter aux joies d'une quasi simulation sur console nouvelle génération. Forza Motorsport 2 a la lourde tâche de soumettre aux férus de conduite technique une alternative à un GTR exclusif aux joueurs PC tout en conservant la tradition chère aux consoles de salon visant à conserver un côté accessible à tout type d'utilisateur. Il y parviendra certainement sans grande difficulté, le développement entamé peu de temps après la sortie du premier volet a permis à toute une équipe de peaufiner un gameplay qui se veut réaliste sans être tiré par les cheveux. Une jouabilité d'ailleurs adaptable à l'expérience du joueur puisqu'un bon paquet d'aides au pilotage peuvent être au choix activées ou non, que ce soit par souci de progresser ou d'attaquer radicalement par une conduite qui ne fera aucun cadeau. On constate en outre que les bases du grand frère sont massivement reconduites, notamment en mode Carrière, où la progression du jeu se fait à allure soutenue mais sans griller les étapes. Ainsi, les victoires en course permettent d'engranger quelques crédits mais aussi de faire évoluer son niveau de conduite dans l'optique de débloquer de nouvelles épreuves. Un grand classique qui, s'il ne suscite aucune surprise, permet de passer rapidement aux choses sérieuses, sans avoir à se soumettre à des tests d'évaluation comme les permis dans Gran Turismo.
Techniquement, le jeu oscille entre effets éxagérés, léger aliasing, bonne animation et ambiance réaliste.
Tout en étant prévisible, l'IA n'hésite jamais à vous attaquer si l'occasion se présente.
